D’après le Rav Maor il est préférable d'offrir des sommes d'argent que d’offrir des colis, souvent impersonnels, qui font plaisir à première vue, mais qui s’avèrent par la suite, inadaptés ou insuffisants.
Vous pouvez offrir aux familles endeuillées de nos soldats tombés au combat, des bons d’achat, des repas chauds ou être volontaire pour le suivi cultuel des orphelins.
Nous avons le plaisir de vous annoncer l’accord de partenariat entre les éditions Tsror Ha’haïm et Beth Chelomo portant sur le ‘Hessed et l'étude de la Torah. Mais permettez-nous de mieux vous présenter les éditions Tsror Ha’haïm.
Roch Hachana approche. Bon, on va prendre de bonnes décisions pour la nouvelle année. Nous allons plus aimer notre prochain, améliorer nos traits de caractère, donner plus de Tsédaka, étudier plus… La liste est longue…
Salomon Chachoua et le Rav Ronnen Bakhar ont réussi leur pari, celui de distribuer tous les Chabbat et jours de fêtes, 2 ‘Halot à chacun des 50 Avrékhim du Kollel Beth Chelomo. Grâce à vos dons, depuis déjà 4 mois, c’est plus de 2000 ‘Halot qui ont été distribuées !
Nombreux d’entre nos soldats viennent de faire Téchouva et ils sentent qu’il leur faut une protection divine. Ils réclament des Talits, des Téfilines, des Talits Katan et des livres de prières, pour mieux se connecter à Hashem.
Le jeu favori des enfants comme des adultes lors de la fête de Hanoucca est la toupie (Sevivone). Quatre lettres de l’alphabet hébraïque sont imprimées sur les côtés. En Israël, נ, ג, ה et פ, qui représentent les initiales de la phrase Nès Gadol Haya Poh (Un grand miracle s’est produit ici). En dehors d’Israël, נ, ג, ה et ש, initiales de Nès Gadol Haya Sham (Un grand miracle s’est produit là-bas).
Nous voici repartis pour une nouvelle aventure. Quand il faut aider son prochain, donner du meilleur de soi-même, de son temps, de l’aide humanitaire, financière, psychologique… les bénévoles de Beth Chelomo sont toujours prêts. Même s’ils ont une famille, des soucis, des responsabilités, un travail le lendemain, ils sont toujours là. Un aller-retour Tel-Aviv/Région frontalière de Gaza dans la soirée, ne les effraient pas.
Hier un soldat est venu me voir et m’a dit : “Il me faut des Téfilines, je suis prêt à signer comme quoi je les mettrai tous les jours. Avant, je n’étais pas religieux, maintenant je rejoins le Peuple juif, je vois que tous ont des Téfilines et pas moi, mes parents ne veulent rien entendre, nous habitons dans un kibboutz. Je ne savais pas ce qu’était un religieux, ici je m’aperçois ce qu’est la valeur d’un juif.” J’ai besoin de savoir que j’aurai une paire de Téfilines à lui donner, je dois pouvoir compter sur vous.
“Chaque enfant a une histoire et je connais celle de chacun d’entre eux, ainsi que celle de leur famille. Le petit Chimon* arriva un jour avec ses parents désespérés, après déjà plusieurs tentatives de suicide. A 7 ans c’est rare. Son école ne voulait plus prendre la responsabilité de le garder. Après vérification de son comportement auprès de ses anciens maitres: "il ment, il est violent, personne ne l’aime…", j’achetai une quinzaine d’esquimaux glacés, et présentai Chimon à sa nouvelle classe en offrant une glace à chaque élève. ‘Si vous aidez Chimon dans ses devoirs vous aurez une nouvelle glace." Chimon se transforma du jour au lendemain.”
