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Commentaires de la Paracha par le Rav Seror
VAYIGACH
L’exil d’Égypte dura 210 ans — dix fois la valeur du Nom Hakadoch א-ה-י-ה (21) — pour réparer la vente de Yossef. Par le mérite de Yossef, qui sanctifia son regard et traça la voie de la pudeur pour tout Israël, Hachem promit à Yaacov : « Je descendrai avec toi… et Yossef posera sa main sur tes yeux », hâtant ainsi la délivrance.
MIKETS
Yossef est libéré à Roch Hachana et, par la grandeur de son humilité il reçoit la clairvoyance (allusion de la lettre ה) pour dévoiler que Pharaon a modifié son rêve. Pharaon a essayé lui aussi d'apparaître comme humble mais ce n'était qu'imitation. La vraie royauté vient du côté de la sainteté et de l’humilité.
VAYECHEV
La « ketonèt passim » de Yossef n’était pas qu’un vêtement : elle annonçait ses épreuves et le futur. Tissée de Noms issus de la bénédiction des Cohanim, elle protégeait Yossef et a donné à Yossef la force de résister en Égypte.
VAYICHLA’H
Yaacov lutte « seul » avec l’ange d’Essav, qui ne parvient pas à le vaincre et frappe sa hanche : la blessure matérialise l’attaque du yetser hara sur le « pied » de la sainteté — la fine différence entre ד (echad, Un) et ר (acher, autre). De là, l’interdit du nerf sciatique rappelle que la confusion entre kédoucha et touma se joue dans un « petit kots » (épine) : notre service doit viser seulement le Nom du Ciel. Accentuer le ד du Chema et orienter chaque mitsva « le-Chem Chamaïm » est l’armure contre Amalek-Sofek (le doute).
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