“Chaque enfant a une histoire et je connais celle de chacun d’entre eux, ainsi que celle de leur famille. Le petit Chimon* arriva un jour avec ses parents désespérés, après déjà plusieurs tentatives de suicide. A 7 ans c’est rare. Son école ne voulait plus prendre la responsabilité de le garder. Après vérification de son comportement auprès de ses anciens maitres: "il ment, il est violent, personne ne l’aime…", j’achetai une quinzaine d’esquimaux glacés, et présentai Chimon à sa nouvelle classe en offrant une glace à chaque élève. ‘Si vous aidez Chimon dans ses devoirs vous aurez une nouvelle glace." Chimon se transforma du jour au lendemain.”

Hier un soldat est venu me voir et m’a dit : “Il me faut des Téfilines, je suis prêt à signer comme quoi je les mettrai tous les jours. Avant, je n’étais pas religieux, maintenant je rejoins le Peuple juif, je vois que tous ont des Téfilines et pas moi, mes parents ne veulent rien entendre, nous habitons dans un kib­­­boutz. Je ne savais pas ce qu’était un religieux, ici je m’aperçois ce qu’est la valeur d’un juif.” J’ai besoin de savoir que j’aurai une paire de Téfilines à lui donner, je dois pouvoir compter sur vous.

Achetez des heures d’étude, dans la Grande Yéchiva Beit El, qui est partenaire de Beth Chelomo depuis plus de 17 ans. Des milliers d’élèves et Avrekhim étudieront la Thora et la Kabbale en votre nom, et vous serez béni par leurs prières.

«V ous compterez pour vous, depuis le lendemain du Chabbat,… sept semaines complètes. Jusqu’au lendemain du Chabbat, le septième, vous compte­rez cinquante jours, vous apporterez une oblation nouvelle à l’Eternel » (Emor 23, 15-16).

Vous avez été très nombreux à nous soutenir dans notre nouveau projet de construction d’une vaste école pour jeunes filles et grâce à D.ieu, nous l'avons inaugurée tout juste l’an dernier en présence de M. Moshé Léon, le Maire de Jérusalem et du Rav HaGaon le Rav Shmouel Rabinovitch Chlita, Rav du Kotel. Elles vous remercient infiniment pour votre aide.

Le soir du Séder, c’est une grande Mitzva de manger de la Matza pour se souvenir du pain azyme que nos ancêtres ont préparé avant de sortir d’Egypte. Mais il est une autre grande Mitzva, celle de boire 4 coupes de vin symbolisant la rédemption du peuple d’Israël. Pourquoi le vin comme symbole de la dé­livrance, d’autant plus que nous sommes habitués à en boire à Pourim et même pendant les fêtes.

J’achète des heures d’étude. À Pessa’h, nous célébrons la sortie d’Égypte et de l’esclavage du Peuple Juif. Nous avons été esclaves pendant 210 ans.

On a l’usage de faire, la veille de Pourim, un don (Zékher Léma­’ha­tsit Hachékel), en souvenir du demi Chékel que tout Israël devait apporter à l’époque du Beth Hamikdach.

Les choses sont cachées pour notre bien et ce n’est qu’une fois l’objectif fixé fut atteint que nous pouvons comprendre rétroactivement le déroulement des événements. Ainsi nous avons le devoir…

Pourim 5783. Cette année encore, vous pouvez faire vos demandes de bénédictions qui seront lues avant Min’ha, et toute l’assemblée répondra Amen!!! Pourim Saméa’h!